Question:
le cancer de protestante est-il transmissible?
chichi
2006-09-19 23:13:37 UTC
le cancer de protestante est-il transmissible?
Dix réponses:
Pat
2006-09-23 17:26:19 UTC
Ah mon fils ! il te faudrait avoir recours a un academicien theologien exorciste.

Puisse le Grand Lubrificateur te venir en aide,le cerveau egalement semble atteint.
CT
2006-09-20 06:17:53 UTC
J'ai un doute...



Réponse a) tu fais de l'humour

Réponse b) tu es pas réveillé et tu as fait une grosse faute

Réponse c) tu penses vraiment qu'un cancer de la protestante existe, et auquel cas tu es con

Réponse d) Obi Wan Kenobi





De toutes façons, aucun cancer n'est transmissible, ça m'étonne que les gens ne sachent pas ça
Xavier65
2006-09-20 06:22:07 UTC
Oui, par voie orale, trois prises de 50Mg espacées de 8 heures, bien que le mouton soit un animal qui se mange mieux en cotelette qu´ en troupeau... A poil les noeuds, a poil les noeuds, a poils...

Enfin, conseil d´ un medecin, je serais a ta place je ne m´ inquieterais pas trop de ma protestante, sinon de preserver la paire de neurones qui ne devraient plus se multiplier a mon avis, quel dommage. Sinon il te reste tout de meme la police nationale, ils embauchent...
BlOOdy Gun
2006-09-20 06:19:18 UTC
magnifique capitaine thran... tu ne serais pas un participant de mon légionnaire par hasard?
caroline l
2006-09-23 15:55:46 UTC
tu peux parler français?

si tu parle du cancer de la prostate, c'est pas contagieux mais si tu as des fils, ils auront un risque plus important d'en avoir un, c'est genetique
Phil Hip
2006-09-20 08:16:40 UTC
tu dois vouloir parler du cancer de la Prostate....



Les cancers ne sont pas transmissibles rassure toi



Prostate : volumineuse glande à sécrétion externe et interne appartenant à l'appareil génital masculin, située sous la vessie, au confluent des voies génitales et urinaires, traversée par l'urètre et incomplétement entourée par les sphincters striés.

(Dictionnaire de la médecine, Médecine-Sciences Flammarion, 7ème édition)



La prostate est le siège de trois affections principales : le cancer de la prostate, l'adénome de la prostate et l'infection de la prostate ou prostatite. Le cancer de la prostate est, comme tous les cancers glandulaires, un "adénocarcinome" et, dans la grande majorité des cas, il est influencé par les hormones.



Epidémiologie



Le cancer de la prostate est le plus fréquent des cancers de l'homme de plus de 50 ans et représente avec le cancer broncho-pulmonaire la deuxième cause de décès par cancer chez l'homme dans le monde développé, après le cancer du poumon.

Son incidence augmente avec l'âge. En France, l'incidence globale en 1990 était de 71,4 pour 100 000 (2,6 dans la tranche 35-49 ans; 133,8 dans la tranche 50-69 ans; 726,9 dans la tranche des 70 ans).

L'augmentation de 23 % de la mortalité liée au cancer prostatique, dans les vingt dernières années, reflète l'augmentation de l'espérance de vie et la reconnaissance plus fréquente du cancer de la prostate comme cause principale du décès. En France, la mortalité globale par cancer était de 33,4 pour 100 000 en 1990 soit plus de 9000 décès par an. Le cancer de la prostate représente 3,4% de tous les décès et 10,7% des décès par cancer.

L'âge moyen du cancer de la prostate se situe autour de 70 ans mais certains hommes sont atteints à un âge plus précoce.



Les facteurs de risque du cancer de la prostate sont :





l'âge,



les facteurs familiaux : selon le nombre de parents du premier degré atteints d'un cancer de la prostate, le risque de cancer pour un homme de la famille peut être 2 à 5 fois celui d'un homme sans antécédents familiaux,



les antécédents de vasectomie,



les régimes alimentaires riches en graisses,



autres facteurs : activité physique, masse corporelle, taux d'hormones sexuelles.



N'ont pas été identifiés comme facteurs de risque: les troubles de sécrétion de la testostérone, le statut socio économique, le tabac, l'alcool, l'activité sexuelle.





Evolution



Le cancer de la prostate se développe à partir de cellules de la prostate. Il se développe souvent très lentement, et reste localisé au début. Quand le cancer évolue, il peut s'étendre en dehors de la prostate par envahissement direct des tissus et des organes situés près de la prostate et il peut essaimer dans d'autres organes à distance de la prostate (os, ganglions...). Si des cellules cancéreuses pénètrent dans les vaisseaux lymphatiques de la prostate, elles sont transportées vers les ganglions du petit bassin où elles continuent à se développer en formant des métastases ganglionnaires (adénopathies).



La plupart des cancers se développent dans la partie périphérique de la prostate, environ 15% dans la portion transitionnelle et 5% dans la portion centrale. La progression tumorale semble liée au stade et au degré de la tumeur.



Les différents stades du cancer de la prostate



Le "stade" du cancer de la prostate indique le degré d'extension du cancer dans la prostate, aux tissus avoisinants et aux autres organes. Le stade de la maladie est habituellement défini par un système appelé "le système TNM" qui décrit l'extension de la tumeur primitive (T), l'absence ou la présence de métastases ganglionnaires (N), et l'absence ou la présence de métastases à distance (M).



Stade T





T1 correspond à une tumeur non perçue au toucher rectal. T1a et T1b correspondent à des cancers découverts incidemment lors de l'examen du tissu prostatique obtenu au cours d'une intervention pour adénome bénin de la prostate. T1c correspond à des cancers découverts par biopsies faites en raison d'une élévation suspecte du taux de PSA,



T2 correspond à un cancer palpable au toucher rectal et qui semble localisé à la glande, intéressant un seul (T2a) ou les 2 lobes (T2b) de la prostate,



T3 correspond à un cancer qui s'étend en dehors de la prostate et/ou aux vésicules séminales (T3b),



T4 correspond à un cancer qui a envahi les organes adjacents à la prostate (vessie, rectum, muscle).

Stade N

N0 correspond à l'absence d'envahissement lymphatique, et N1 à l'envahissement d'un ou de plusieurs ganglions du petit bassin.



Stade M

M0 correspond à l'absence de métastases à distance et M1 à la présence de métastases en dehors du petit bassin (os, poumons, foie ou cerveau).



Le meilleur gage de guérison est donc de détecter le cancer à un stade précoce, quand il est encore localisé à la prostate, sans extension en dehors d'elle.



Dépistage



Les symptômes qui doivent amener à consulter sont : des envies d’uriner trop fréquentes obligeant à se lever la nuit et une difficulté, voire un véritable blocage des urines, et des douleurs osseuses. Dans le cas d’un cancer, ces symptômes s’installent assez rapidement, deviennent permanents et s’aggravent en quelques mois.



Il existe plusieurs méthodes de détection du cancer de la prostate :



Interrogatoire du patient

Il renseigne le médecin sur l'existence de symptômes urinaires ou autres, sur d' autres maladies éventuelles, sur les facteurs de risque et sur les traitements en cours.



Toucher rectal

La prostate étant située juste en avant du rectum, le médecin peut la palper par un doigt introduit dans l'anus et donc apprécier son volume, la régularité des contours et la consistance de la glande.

PSA (Antigène prostatique spécifique)

Le PSA est un marqueur tumoral utilisé pour la détection du cancer de la prostate. Le taux de PSA dans le sang est exprimé en nanogrammes par millilitres (ng/ml) et est considéré comme normal si le taux est inférieur à 4 ng/ml. Plus le taux de PSA est élevé en cas de cancer de la prostate, plus le risque d'une extension à distance du cancer est élevé, ce qui signifie habituellement une diminution des chances de guérison ou de survie à long terme.

Echographie endorectale de la prostate et biopsies

L'échographie utilise des ultrasons pour produire une image de la prostate, ces ultrasons sont produits par une sonde introduite dans l'anus. On peut ainsi guider très précisément une aiguille pour faire des prélèvements à un endroit déterminé de la prostate. Seule la biopsie peut affirmer le cancer car les cellules cancéreuses sont visibles au microscope. Les biopsies ont donc une importance primordiale pour déterminer le pronostic de la maladie.

Curage ganglionnaire

Il consiste à prélever et à examiner au microscope les ganglions du petit bassin. Si l'on trouve des cellules cancéreuses dans les ganglions, cela prouve que le cancer a dépassé les limites de la prostate, la prostatectomie est donc inutile.

Autres tests sanguins

- Dosage de la créatinine pour vérifier le bon fonctionnement rénal,

- Dosage des phosphatases alcalines pour surveiller le retentissement d'éventuelles métastases osseuses,

- Dosage des enzymes du foie pour surveiller certains traitements pouvant influer sur le fonctionnement de celui-ci.

Scanner

Il est utilisé pour détecter des ganglions ou l'extension du cancer à d'autres organes.

Résonnance magnétique

Une IRM endorectale permet d'obtenir des images très précises du contour de la prostate et déceler une extension extraprostatique du cancer.

Scintigraphie osseuse

Cet examen permet de détecter l'extension du cancer de la prostate aux os.

Les tables de Partin

Elles permettent de calculer le risque d'extension extracapsulaire.



Traitement



- Prostatectomie totale (prostatectomie rétropubienne radicale)

Cette opération enlève toute la prostate et les vésicules séminales qui sont des glandes accessoires appendues à la prostate. L'intervention, faite sous anesthésie générale ou sous péridurale, n'a lieu que si le cancer ne dépasse pas les limites de la prostate. Environ 10 % des patients vont développer une récidive locale dans les 5 ans suivant une prostatectomie radicale pour un cancer de la prostate localisé. Si le suivi est plus long, ce taux atteint 15 %.



- Résection trans-urétrale de prostate

Cette intervention représente un traitement palliatif des troubles urinaires liés à l'obstruction par évolution locale de la maladie.



- Radiothérapie

La radiothérapie est utilisée pour traiter les cancers qui sont localisés à la prostate, ou qui ont atteint les tissus voisins. Elle peut être utilisée pour diminuer le volume de la tumeur ou éviter des complications locales. On utilise soit la radiothérapie externe, soit la curiethérapie (ou brachythérapie) qui consiste à placer des sources radio-actives directement dans le tissu prostatique.





- Traitement hormonal

Le but du traitement hormonal est de s'opposer à l'action des hormones mâles (androgènes) qui stimulent la prostate. Ainsi, la diminution du taux de testostérone, principale hormone masculine, bloque la prolifération des cellules cancéreuses et diminue le volume de la prostate. Le traitement hormonal n'a qu'un effet transitoire, il bloque la prolifération du cancer sans le guérir.

- Analogues de la LH-RH : ils bloquent la libération de LH et donc la production de testostérone par les testicules.

- Anti-androgènes : ils bloquent l'action de la testostérone au niveau des organes cibles, en particulier la prostate. Les anti-androgènes sont souvent utilisés en combinaison avec la castration chirurgicale ou la prescription d'analogues de la LH-RH car ils permettent un blocage androgénique total (BAT) ce qui améliore la durée de survie et la qualité de vie des patients en cas de maladie minime.

- Les oestrogènes : ils sont utilisés en seconde intention.

- Castration chirurgicale : il s'agit d'une intervention chirurgicale qui consiste à faire une incision au niveau des bourses et à enlever la partie des testicules qui sécrète la testostérone (pulpectomie). Cette intervention est peu pratiquée actuellement car les médicaments permettent une castration "médicale".



- Chimiothérapie

La chimiothérapie est utilisée dans le cancer de la prostate quand celui-ci a évolué avec une extension extraprostatique et qu'il ne répond plus au traitement hormonal. La chimiothérapie diminue la croissance tumorale et peut diminuer les douleurs liées au cancer.



- Surveillance (traitement différé)

Pour certains patients, une surveillance sans traitement immédiat est parfois la meilleure stratégie. C'est le cas notamment de certains patients âgés présentant un petit cancer peu agressif. On évite ainsi les effets secondaires éventuels d'un traitement.



- Traitement de la douleur

Dans certains cas, en particulier quand il existe métastases osseuses, des douleurs peuvent entraîner une altération de la qualité de vie et nécessiter un traitement adapté. Certains médicaments comme le biphosphonate peuvent ralentir les lésions osseuses liées au cancer de la prostate et diminuer les douleurs. Il existe d'autres méthodes pour traiter les douleurs osseuses : séances de rayons focalisés sur les zones douloureuses, injection intraveineuse de produits radioactifs (Strontium…).



- Traitements alternatifs ou complémentaires

Certains traitements complémentaires ou certains régimes diététiques ont pu être associés avec une efficacité variable aux traitements efficaces sur le cancer de la prostate.



- Traitements expérimentaux

- Cryochirurgie : cette technique détruit les cellules cancéreuses par congélation brutale et répétée de la prostate à l'aide d'une sonde refroidissante (azote liquide) introduite sous anesthésie dans la prostate. L'efficacité de cette technique n'est pas encore démontrée.

- Ablatherm® : c'est un système de traitement du cancer de la prostate par ultrasons focalisés par voie endorectale. Ce traitement serait indiqué à titre palliatif.



Effets secondaires du traitement



Incontinence urinaire : c'est l'impossibilité de contrôler les urines. Il peut s'agir d'une incontinence urinaire d'effort qui est causée par une insuffisance du sphincter (la chirurgie prostatique peut endommager le sphincter), d'une incontinence par regorgement qui est due à la mauvaise évacuation de la vessie, ou de fuites par impériosités mictionnelles qui surviennent particulièrement après radiothérapie, quand la tolérance de la vessie au remplissage est diminuée.



Impuissance : elle est définie par l'impossibilité à obtenir une érection. En effet, la chirurgie prostatique ou la radiothérapie peuvent endommager les nerfs érecteurs. Après prostatectomie totale, 60% à 90% des patients sont impuissants. Les chances de récupérer des érections sont liées à l'âge du patient, à la préservation des nerfs érecteurs et au stade de la maladie. Interviennent alors des traitements comme les prothèses péniennes, les injections intracaverneuses de prostaglandine E1 et l'administration de citrate de sildénafil (Viagra®).



Autres effets secondaires :

- La radiothérapie externe peut entraîner des troubles intestinaux (diarrhée, colite), et des troubles urinaires survenant essentiellement pendant le traitement (fréquence urinaire, diminution du jet, envies pressantes, brûlures en urinant, présence de sang dans les urines). La radiothérapie peut engendrer une certaine fatigue en cours de traitement.

- L'administration de certains anti-androgènes peuvent entraîner des effets secondaires (diarrhée, difficultés respiratoires, troubles de l'accommodation visuelle …).

- Le traitement hormonal à long terme peut entraîner une ostéoporose avec fragilisation osseuse.











» Pour en savoir plus:



Dossiers de fonds



Cancer de la prostate

Diagnostic - Options thérapeutiques - Conseils après une prostatectomie radicale - Conseil après une privation androgénique après une tumeur de la prostate.

Les options diagnostiques et thérapeutiques. Par le service urologie du CHU de Bicêtre / Université Paris Sud. http://www.uro.bicetre.org/privee/CANCERPROSTATE.htm



Cancer de la prostate

Epidémiologie, physiopathologie, anatomo-physiopathologie, diagnostic, évolution / complications, traitement, suivi.

"L'URO-LOGIQUE" Version 2000. Par le professeur François Guillé, UFR de Médecine - Université de Rennes I.

http://www.med.univ-rennes1.fr/etud/uro/cancer_de_la_prostate.html



Cancer de la prostate

Introduction - Clinique - Traitement.

Consultation du Corpus Medical. Par M. Bolla - 1995. Faculté de médecine de Grenoble.

http://www-sante.ujf-grenoble.fr/sante/corpmed/Corpus/corpus/question/canc135.htm



Curiethérapie dans le Cancer de prostate

Compte rendu au format PDF disponible produit par le Comité de cancérologie 2001 et correspondant au congrès 2000 de l'Association française d'urologie.

http://www.urofrance.org/publist.php?hideHTML=1&annee=2001&revue=C2&tome=11



Standards, Options et Recommandations pour la prise en charge des patients atteints de cancer de la prostate

Ce rapport est en cours de réalisation par un groupe de travail de la FNCLCC (Fédération Nationale des Centres de Lutte Contre le Cancer). Cependant la page permet d'accéder à plusieurs liens : Tomographie par émission de positons au [18F]-FDG - Guide patient : Comprendre le cancer de la prostate (SOR SAVOIR PATIENT, à paraître en 2002) - Cochrane prostatic diseases dans urikigic cancers Group (résumés des synthèses « Cochrane » disponibles gratuitement) - Genitourinary Cancer Clinical Practice Guidelines (recommandations pour la pratique clinique du Cancer Care Ontario Practice Guidelines Initiative, Canada). Avril 2002.

http://www.fnclcc.fr/-sci/sor/adulte/prostate.htm



Progrès en Urologie

Quatre publications de la revue Progrès en Urologie mis en ligne sur le site de l'Association française d'urologie : "Cancer de la prostate hormono-dépendant, Chimiothérapie : principes pratiques, Place de la mitoxantrone dans la prise en charge du cancer de prostate métastatique hormono-indépendant, CAT devant une hormono-indépendance". Disponibles au format PDF, 2002.

http://www.urofrance.org/publist.php?showauteurs=1&

hideresume=1&annee=2002&revue=PU&tome=1202



Marqueurs Tumoraux du Cancer de la Prostate

Evidence-Based Medicine : la théorie - Marqueurs tumoraux du cancer de la prostate - Diagnostic et pronostic du cancer de la prostate - Traitement du cancer de la prostate - Données EBM en texte intégral - Actualités en urologie - Informations pour les patients. Informations utiles pour interpréter les analyses de laboratoire, évaluer le pronostic des tumeurs et adopter la stratégie thérapeutique la plus adaptée et la plus bénéfique pour le patient.

Par l'Université de Liège, Bibliothèque Faculté médecine.

http://www.ebm.lib.ulg.ac.be/prostate/index.htm



Cancer de prostate

Epidémiologie, bases anatomiques, notion d'hormonosensibilité, particularité biologique, circonstances de découverte, diagnostic, bilan d'extension, traitement. Cours rédigés par les enseignants de la spécialité à savoir le professeur P. Perrin et le Dr D. Champetier (année 2000-2001). Sur le serveur de l'université de Lyon.

http://cri-cirs-wnts.univ-lyon1.fr/Polycopies/Urologie/Urologie-14.html



Les maladies touchant la prostate

L'adénome de la prostate - Les traitements médicaux de l'adénome de prostate - Le cancer de la prostate - La prostatite aiguë - La résection transurétrale de la prostate - L'opération de la prostate à ciel ouvert.

Par le groupe hospitalier Cochin - La clinique urologique.

http://www.uro-cochin.asso.fr/frinma/MP.htm



Cancer de la prostate

Définition, description, traitement. Sur le site Urologues.com, source d'information sur l'urologie pour le public et les professionnels.

Par le Dr. Jacques Bron, août 2000.

http://www.urologues.com/maladies/prostate/kp.asp



Prostate cancer (site en anglais)

Informations générales, classification cellulaire, dépistage, traitement, les différents stades, le cancer récurrent.

Par le National Cancer Institute. Août 2000.

http://cancerweb.ncl.ac.uk/cancernet/101229.html



Cancer non localisé de la prostate

Groupe de travail - Groupe de lecture - Recommandations et références - Stratégie de la recherche documentaire - Argumentaire.

Recommandations et références médicales. Par l'Anaes, septembre 1997.

Recommandations



Prostate cancer

L'Association pour la Recherche sur les Tumeurs de la Prostate met en consultation sur son site l'ensemble des numéros de Prostate tumeurs. La recherche sur cette revue, rassemblant une sélection de courts articles scientifiques, se fait par auteurs, par mots-clés ou par date. Numéros disponibles de 1988 à 2001.

http://www.artp.org/BAS_pt.htm







Epidémiologie



Comorbidité et survie chez des hommes âgés ayant participé à l'Enquête Santé Canada : pertinence du dépistage et du traitement du cancer de la prostate

Les facteurs de comorbidité sont d'importants déterminants de la survie associés à la plupart des maladies chroniques.

Par la Direction générale de la protection de la santé - Laboratoire de lutte contre la maladie.

Maladies chroniques au Canada. Volume 19, No 3 - 1998.

http://www.hc-sc.gc.ca/hpb/lcdc/publicat/cdic/cdic193/cd193a_f.html



Evolution / Classification



Classification TNM du cancer de la prostate

Classification TNM, références. Par la bibliothèque de la faculté de médecine de l'université de Liège.

http://www.ebm.lib.ulg.ac.be/prostate/tnm97.htm



Classification de Gleason

La classification de Gleason correspond à la gradation histologique de l'agressivité tumorale pour les cancers prostatiques.

Par la bibliothèque de la faculté de médecine de l'université de Liège.

http://www.ebm.lib.ulg.ac.be/prostate/gleason.htm



Dépistage



Dépistage du cancer de la prostate

Problématique, méthode d'évaluation des données scientifiques et démarche du groupe d'experts, cancer de la prostate, diagnostic et dépistage du cancer de la prostate, conseils et avis du médecin aux patients, résumé, recommandations. Le Collège des médecins du Québec, en collaboration avec l'Association des urologues du Québec et le Groupe de travail sur l'implantation des lignes directrices en pratique clinique au Québec se penche sur la controverse que soulève le dosage de l'APS comme test de dépistage du cancer de la prostate. Février 1998.

http://www.cmq.org/canpros.pdf



Indications du dosage sérique de l'antigène prostatique spécifique (PSA)

Le dosage sérique de l'antigène prostatique spécifique n'est pas indiqué dans le dépistage du cancer de la prostate - Indications du dosage sérique de l'antigène prostatique spécifique dans le diagnostic du cancer de la prostate - Indications du dosage sérique de l'antigène prostatique spécifique dans le traitement du cancer de la prostate - Propositions d'actions futures.

Recommandations et références médicales, Recommandations pour la pratique clinique. Par l'Anaes, décembre 1998.

Recommandations





Opportunité d'un dépistage systématique du cancer de la prostate par le dosage de l'antigène spécifique de la prostate

Epidémiologie du cancer de la prostate, expression clinique du cancer de la prostate - efficacité du traitement, modalités de dépistage, la mesure du bénéfice du dépistage, évaluation économique du dépistage de masse du cancer de la prostate par dosage de l'antigène prostatique spécifique, conlusions et recommandations.

Par l'Anaes, mai 1998.

Rapport



Traitement



Indications des spécialités : cancer de la prostate métastase

Par la BIAM.

http://www2.biam2.org/www/SpeIndicMCCANCER_DE_LA_PROSTATE_METASTASE.html



Traitement du cancer de la prostate

Référence Médicale Opposable (RMO), AFSSAPS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé, RMO n° 43 ;dans le Journal Officiel du 14 novembre 1998.

http://agmed.sante.gouv.fr/htm/5/5210c.htm#cancer



Cancer localisé de la prostate - Alternatives thérapeutiques

Source : (Séminaire de l'Institut Curie - Paris - intitulé " Evolutions récentes dans le cancer de la prostate ", organisé en collaboration avec l'hôpital Cochin - mars 1999 - sous la direction du Pr Jean-Marc Cosset - Institut Curie). Sur Esculape.

http://www.esculape.com/uronephro/prostateKmaj.html



Les traitements du cancer localisé de la prostate

Introduction - Rappel - Efficacité et sécurité des traitements du cancer localisé de la prostate - Aspects économiques et état de la pratique.

Etudes d'évaluation économique, Études d'évaluation technologique. Par l'Anaes, janvier 2001.

Rapport



Urologie : Les ultrasons focalisés de haute intensité dans le traitement du cancer prostatique

Article de la revue suisse Médecine et Hygiène. K. Kellou M. Wisard H.-J. Leisinger, 2002.

http://www.medhyg.ch/mh/formation/article.php3?sid=21867



Cancer de la prostate : place de la brachythérapie

Article de la revue suisse Médecine et Hygiène. A. Marti M. Wisard H.-J. Leisinger, 2002.

http://www.medhyg.ch/mh/formation/article.php3?sid=21783



Current Issues in the Management of Prostate Cancer : Charles Huggins Symposium

Des experts oncologues discutent sur le cancer de la prostate, notamment sur la thérapie hormonale.

Formation médicale continue sur le cancer de la prostate, 28 septembre 2001. http://oncology.medscape.com/CMECircle/Urology/2001/CME01/public/toc-CME01.html



Associations



ARTP

L'Association pour la Recherche sur les Tumeurs de la Prostate propose sur son site une base documentaire riche en informations, une sélection de liens et une banque d'images, les nouveautés du site, un accès à Medline et une page contacts.

http://www.artp.org/



Urolink

Une partie Uropage réservée aux patients (actualités et une liste de sujets abordés dont le cancer de la prostate) et une partie Urocancer (dans l'espace club) réservée aux urologues français enregistrés composent ce site destiné aux urologues et créé par Aventis.

http://www.urolink.fr/index.htm





Pour les patients



Maladies de la prostate

Qu'est-ce que la prostate ? Cancer de la prostate, adénome de la prostate, FAQ, fiches techniques.

Par Uropage, site d'information en urologie destiné aux patients et à la famille.

http://www.uropage.com/ART_malpros.htm



Vivre avec un cancer de la prostate

Comment fait-on le diagnostic de cancer de la prostate ? Existe-t-il de facteurs de risque ? Existe-t-il des méthodes de prévention ? Existe-t-il différents types de cancer de la prostate ? Comment savoir si votre cancer est grave ? Quels sont les grands principes de traitement ? Comment va-t-on vous suivre ? Est-ce que vos enfants risquent également de développer ce cancer ? Quelques points particuliers. Par la Ligue nationale contre le cancer.

http://www.ligue-cancer.asso.fr/Rubrique_Vivre/CONTENU_2_4.HTM



Série de monographies sur les maladies liées au vieillissement : X. Cancer de la prostate

Introduction - Renseignements de base et histoire naturelle - Fardeau que réprésente la maladie - Facteurs de risque - Apport énergétique - Apport en matières grasses - Vitamine A - Antioxydants - Vitamine D - Dépistage et diagnostic - Traitement - Conclusions et recommandations - Références.

http://www.hc-sc.gc.ca/hpb/lcdc/publicat/cdic/cdic191/cd191b_f.html
ange
2006-09-20 06:32:08 UTC
seul le cancer du sein si il y as bien sur plusieurs cas dans une famille est héréditaire

par contre j espère que ta question comporte des erreurs de frappe au cas contraire elle est vraiment de mauvais goût
aquarelle91
2006-09-20 06:29:48 UTC
Réponse d)
Livreopus
2006-09-20 06:19:04 UTC
Bien sûr que NON !!!!!!

En revanche, s'il y a déjà eu des cas dans la famille, l'individu peut avoir des tissus prédisposés, dont ceux de la prostate... Mais il y a aussi et heureusement des sauts de générations...
christian l
2006-09-20 06:17:27 UTC
non ni celui catholique, islamique boudhique etc...


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